Pour les Stars, la coupe Stanley sera le seul dénouement acceptable. Alain Nasreddine: «Cette année, la pression est plus haute»

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EDMONTON | Les années se suivent et se ressemblent pour Alain Nasreddine depuis son embauche par les Stars à l’été 2022. Pour la deuxième fois en autant de saisons, l’équipe se trouve dans le carré d’as de la LNH.

Malgré le parcours jusqu’ici similaire, l’entraîneur adjoint de 48 ans be aware certaines différences. Surtout au niveau des attentes et des intentions.



Getty Images by way of AFP

«L’an passé, se rendre en finale d’affiliation, ça avait été une belle réalisation, même si on savait qu’on avait une bonne équipe. Cette année, la pression est plus haute. En commençant la saison, les attentes, c’était la coupe Stanley», a-t-il raconté lors d’une entrevue accordée au Journal de Montréal, dans un hall du Rogers Place.

Pour un gars qui a passé huit saisons à se demander si son organisation, les Devils du New Jersey, allait être chanceuse lors de la loterie du repêchage, cette pression est la bienvenue.

«Tu fais ce travail pour vivre ce style d’expériences. N’importe quel ti-cul rêve de gagner la coupe Stanley. Alors de se retrouver dans le carré d’as… il y a 28 équipes à la maison qui aimeraient être à ta place.»

Motivés par les vétérans

L’an dernier, les Stars n’avaient pas réellement eu l’event de savourer pleinement leur présence en finale de l’Association de l’Ouest. Ils s’étaient inclinés en six rencontres face aux Golden Knights de Vegas. Après avoir perdu les trois premiers matchs.

Disons qu’avec une série égale à deux victoires partout, les probabilités d’atteindre la ronde ultime sont un peu plus grandes.

«Tu n’es qu’à deux victoires de te rendre en finale, c’est sûr que tu y penses, a-t-il reconnu. Mais, en même temps, il faut garder les yeux seulement sur le prochain match. C’est ça qui est difficile en séries et je m’en rends encore plus compte cette année.»

Encore une fois, les Stars sont motivés par la présence de vétérans de longue date n’ayant jamais eu la probability de soulever la coupe Stanley. Joe Pavelski, Ryan Suter, Jamie Benn et Matt Duchene roulent leur bosse depuis des lunes.

«Ils arrivent à la fin du parcours. Les jeunes se rallient autour d’eux. C’est la même selected pour les entraîneurs. On veut gagner pour nous, mais on veut aussi gagner pour ces gars-là, a déclaré Nasreddine. Ce sont des gars qui sont tellement dédiés à la trigger.

«On a un bon groupe de jeunes qui aident à pousser et des vieux qui sont là pour les encadrer. Donc, ça fait une belle chimie. Le however est de gagner pour eux», a-t-il ajouté.

DeBoer, un bon mentor

Nasreddine ne connaissait DeBoer que de nom et de réputation lorsque l’Ontarien l’a invité à se joindre à son groupe d’entraîneurs. Deux saisons plus tard, le Montréalais, qui a surtout travaillé avec John Hynes lors de son séjour de huit saisons avec les Devils, guarantee apprendre constamment aux côtés de l’entraîneur de 55 ans.

«C’est fantastique de travailler avec un gars comme lui. Je vois la façon dont il se comporte tous les jours, à toutes les pratiques, à tous les matchs, a-t-il mentionné. La pression est assez haute, mais il est tellement bon pour calmer tout le monde.

«J’ai toujours été un gars détaillé dans mon travail et dans ma façon d’approcher les matchs. Mais on dirait que c’est encore plus le cas maintenant, a-t-il poursuivi. Je le réalise encore plus que l’an passé. J’ai un sens des responsabilités encore plus élevé. Tu dois être prêt à chaque présence parce que chaque décision peut te coûter le match.»

Des ajouts à son bagage d’expérience qui lui permettront possiblement, un jour, d’obtenir sa véritable probability dans un poste d’entraîneur-chef.

Et une coupe Stanley dans son CV ne nuirait assurément pas.

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